2014年12月29日星期一

IDRIS ELBA : DANS LA PEAU DE JAMES BOND ? ON Y CROIT !

Daniel Craig n'a pas encore raccroché que déjà les fans s'affolent autour de l'identité du prochain agent 007. Dans le costume de James Bond, certains verraient bien l'acteur anglais Idris Elba. Si rien n'est encore joué, le principal concerné se montre très flatté.
C'est l'agent secret le plus connu de la planète, ses gadgets fascinent depuis les années 50 et les stars se bousculent pour l'interpréter au cinéma. James Bond, c'est un personnage de fiction devenu culte. D'abord incarné par Sean Connery au cinéma, il est la star d'une saga portée sur le grand écran. On imagine combien décrocher le rôle tient du Saint-Graal.
Aujourd'hui porté par Daniel Craig, le costume de l'agent 007 changera bientôt de main. En effet, l'acteur a signé pour deux films encore (donc "Spectre", en salles en octobre 2015) avant de prendre une retraite bien méritée. De quoi titiller déjà la curiosité des fans : qui pour reprendre le flambeau ?
Si rien n'est tranché encore, un nom se démarque : Idris Elba. L'acteur anglais de quarante-deux ans serait pressenti pour l'incarner au cinéma. Une rumeur qui enfle au fil des mois et qui crée la polémique. Car si l'acteur de la série "The Wire" et de "Luther" semble un candidat parfait, certains voient d'un mauvais oeil ce choix de casting.
Un James Bond noir ?
Voir l'image sur Twitter

photo: robe de soirée verte

C'est le cas de l'animateur américain Rush Limbaugh, à l'antenne radio du "Rush Limbaugh Show", mardi dernier : "James Bond est un concept créé par Ian Flemming. Il est blanc et Ecossais, point barre. C'est son identité. Et à présent, ils suggèrent que le prochain James Bond soit Idris Elba, un Britannique noir, plus un blanc d'Ecosse. Ce n'est pas James Bond et je sais que c'est probablement raciste de le mentionner."
Il faut dire que depuis 1962 et le premier "James Bond", l'agent 007 a toujours été interprété par des acteurs blancs. Mais si Idris Elba ferait lui aussi un bon agent secret, ce n'est pas parce qu'il incarnerait une quelconque avancée, mais parce qu'il s'agit avant tout d'un très bon acteur.
Interviewé par le site National Public Radio (NRP.org), il a indiqué ne pas vouloir devenir le "James Bond noir". "Sean Connery n'était pas le James Bond écossais, et Daniel Craig n'était pas le James Bond aux yeux bleus. Donc si je joue ce rôle, je ne veux pas qu'on m'appelle le James Bond noir."
Idris Elba, un acteur qui ne manque pas d'humour
A noter que ce n'est pas la première fois que le choix d'un acteur fait polémique. En 2005, lorsque Daniel Craig a été désigné comme le nouvel agent 007, de nombreux fans se sont montrés déçus, appellant même au boycott. Même Sam Mendes, le réalisateur, a parlé à l'époque d'une "erreur de casting".
Si rien n'est signé encore, Idris Elba préfère croire en ses chances et rire des rumeurs. Il l'a prouvé sur Twitter.
"007 n'est pas supposé être beau ? Je suis heureux que vous pensiez que j'ai une chance de décrocher le rôle ? Bonne année à tout le monde."
Si on ne sait pas encore s'il endossera bientôt le costume de James Bond, Idris Elba est plus que motivé. A la question "Que répondriez-vous si Sony vous invitait à les rencontrer ?" posée parNPR.org, l'acteur à la bonne réponse.
"Je ne me contenterais pas de prendre un taxi. Je dégagerais le chauffeur de taxi, en ferais un otage. Puis je sauterais de la voiture en route, sur un vélo, puis sur un avion - sur l'aile. J'atterrirais sur le toit des studios de Sony, glisserais à travers le système d'air conditionné, jusqu'au bureau." Ca c'est digne l'agent 007 !
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2014年12月28日星期日

Maquillage de fête sans prise de tête

Envie de briller de mille feux le 31 ? Cynthia, maquilleuse chez Sephora, vous donne ses trucs pour être belle en vingt minutes.
S'il y a bien un soir où l'on a envie de sortir le grand jeu, c'est bien celui du réveillon de la Saint-Sylvestre. Mais de là à y passer l'après-midi... Cynthia, maquilleuse au Sephora des Champs-Elysées, à Paris, vous propose un look glossy smoky, à la fois glamour et festif mais surtout réalisable en vingt minutes.
Adaptez le blush à votre teint naturel : pas d’orangé pour les peaux claires et pas de rose pour les mates.
photo: robe de soirée pour mariage
1- Les yeux. On commence par appliquer un fard crème à paillettes sombre sur la paupière et on dégrade en remontant vers l'arcade. « Pour apporter un maximum de lumière », précise Cynthia, on choisit ensuite une poudre (beige nacré pour les peaux halées ou noires ; beige clair pour les autres), que l'on place juste en dessous des sourcils. Il est temps de passer au contour de l'oeil avec un crayon noir. Suivant l'intensité recherchée, on peut l'appliquer au ras des cils du bas et/ou ceux du haut. Un eye-liner pailleté peut être posé au dessus. « Pour un effet encore plus festif, pourquoi ne pas en ajouter une pointe sur chaque cil. »
2- Les sourcils. « Surtout ne les oublie z pas ! » insiste Cynthia, car ce sont eux qui dessinent le regard. Utilisez un crayon et estompez avec la petite brosse qui se trouve au bout.
3- Le teint. Peut-être trouvez-vous étrange de ne pas avoir commencé par là. « C'est fait exprès, confie la pro. Car, quand on fait un smoky, il y a souvent des chutes de fard. » Faire les yeux d'abord permet de réparer les dégâts avec du démaquillant sans devoir refaire tout son fond de teint ! Pour celui-ci, attention à la couleur ! « Toujours la même que la peau. » L'anticerne sera choisi une demi-teinte en dessous. « Si les cernes sont très marqués et tirent vers le bleu, une pointe d'orangé peut faire des miracles », assure Cynthia. On termine par la poudre, elle aussi de la même couleur que la peau. Si on veut avoir l'air un peu bronzée, c'est à une poudre de soleil qu'il faut s'en remettre. On l'applique sur le front, en dessous des pommettes, puis on descend jusqu'au niveau du menton en suivant le contour du visage.
4- Le blush. A mettre sur le rond de la pommette. Les peaux claires peuvent se permettre du corail mais pas de l'orangé, qui ternit. Les peaux plus mates devront éviter le rose qui ne fait pas naturel du tout sur ce type de carnation.
5- Les lèvres. Deux solutions. Pour un effet très glamour et très classe, choisissez un rouge sombre. Si on n'ose pas, un gloss transparent, éventuellement à paillettes, est parfait pour repulper la lèvre. Voilà, vous êtes prête pour briller toute la nuit.
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2014年12月25日星期四

Les 13 desserts de Noël : une tradition culinaire excellente pour la santé

Si la bûche trône souvent à la fin du repas de Noël, la Provence fait perdurer la tradition des 13 desserts de Noël. Habituellement, c'est au retour de la messe de minuit que ces 13 gourmandises sont consommées. Le nombre 13 est hautement symbolique puisqu'il représente le nombre de participants de la Cène : le Messie entouré de ses 12 apôtres.Si cette tradition culinaire provençale peut varier d'une ville à l'autre et que les 13 desserts ne sont pas toujours identiques, découvrez les incontournables et leurs bienfaits pour la santé.
De la pâte de coing
Le coing est un fruit peu calorique. Il contient 84 % d'eau, dans laquelle on trouve différents minéraux et oligo-éléments : potassium, phosphore, magnésium, fer, cuivre.
Grâce aux fibres, le coing permet un bon transit intestinal et préviendrait le risque de maladies cardiovasculaires, de diabète et d'obésité. Sa chair composée de tanin protégerait les muqueuses de l'estomac, le colon et le rectum.
Mais, attention la pâte de coing contient beaucoup de sucre !
Du raisin blanc
photo: robe de soirée blanche pas cher
Le raisin purifie et protège l'organisme. Par sa forte teneur en eau, le raisin est un fruit diurétique doté d'une proportion intéressante en fibres. Ainsi ce fruit peut « nettoyer » les intestins et le foie. Il est aussi riche en sels minéraux : en potassium qui réduit tension artérielle et régularise le rythme cardiaque, mais aussi en fer, en sélénium (qui stimule le système immunitaire et diminue les ridules entre autres propriétés), en magnésium, en zinc... Mais pour bénéficier des bienfaits du raisin, choisissez le bio, car leur teneur en fibres et en polyphénols y serait supérieure.
Du melon de Noël
Le melon de Noël (ou Verdau) s'appelle également le Melon Vert Olive de Provence car sa robe est de couleur vert foncé et sa forme comme une olive ridée.
C'est une variété à chair blanche très sucrée.
Riche en eau et en potassium, le melon a des propriétés diurétiques. Très peu calorique, le melon ne contient que 30 à 50 calories pour 100 grammes. Le melon contient aussi des fibres qui jouent un rôle important dans le transit intestinal.
Malheureusement ce melon à chair blanche n'apporte pas autant de bêta-carotène (excellent pour les yeux et la peau) que les melons à la chair orange.
Des dattes
Les dattes sont une bonne source de fibres. Elles permettent un bon transit intestinal, une régulation de la glycémie et une diminution du taux de mauvais cholestérol. Elles protègent aussi le cœur et diminuent le risque de développer le cancer du côlon. Ces fruits à haute concentration en sucres sont parfaits pour les activités sportives intenses. Les personnes au régime ne doivent pas en abuser.
Des oranges ou des mandarines
La pulpe et le jus des oranges et des mandarines sont riches en vitamine C et renferment de nombreux antioxydants qui jouent un rôle de prévention des cancers de l'œsophage, de l'estomac, du côlon, de la bouche et du pharynx. La vitamine C consommée régulièrement permet de lutter contre les maladies cardiovasculaires.
Des fruits secs appelés les quatre mendiants
Les mendiants sont au nombre de quatre et sont représentés par quatre fruits secs : raisin, figue, amande et noisette. Par analogie avec les robes des ordres mendiants : les raisins secs pour les Dominicains, les figues sèches pour les Franciscains, les noisettes ou noix pour les Augustins et les amandes pour les Carmes.
Importante source de vitamines et minéraux, les fruits secs sont les alliés de notre santé. Les raisins secs ont une teneur élevée en bore (2,2 mg/100 g), un oligo-élément qui [...]
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2014年12月24日星期三

L'avenue Clémenceau fait peau neuve

Le gros chantier de l'avenue Clémenceau est porté par le Grand Figeac et la ville. Au programme : enfouissement des réseaux, réfection de la voirie, des trottoirs, de l'éclairage.
Michel Lavayssière et les ouvriers de l'entreprise Angel Larreu.
photo: robe de soirée blanche
Pour Michel Lavayssière l'élu figeacois, responsable au Grand Figeac des bâtiments et de la voirie, l'aménagement de l'avenue Clémenceau n'est que la suite logique de l'avenue des Poilus et du parvis de la gare, sauf qu'elle est désormais réalisée par le Grand Figeac en ce qui concerne voirie, trottoirs, éclairage public (386 000 € HT), la ville prenant en charge l'enfouissement des réseaux (290 000 € HT).
L'éclairage d'une avenue en LED : une première
«C'est un gros chantier, dit l'élu, mais il était important de le finaliser. Les enfouissements, réalisés par l'entreprise Angel Larreu de Decazeville, devraient être finis fin décembre, et les branchements fin mars 2015. Entre-temps, nous aurons finalisé le projet voirie, qui sera validé par la commune, et devrait débuter fin avril pour se terminer dans la première quinzaine de juillet».
Pour la première fois sur la ville, l'éclairage d'une avenue sera réalisé en LED, comme devraient en bénéficier également les projets futurs. Les lumières seront disposées côté clinique, sur un trottoir porté aux normes d'accessibilité.
«L'avantage du LED, outre son moindre coût, est son variateur qui permet de nuancer l'intensité de l'éclairage, poursuit l'élu. De plus en plus, nous devrons chercher à faire des économies, et je pense qu'avec la mutualisation des moyens sur le Grand Figeac, nous allons dans le bon sens. Ce doit être un avantage qui nous permettra de faire plus avec moins d'argent. Je crois que mes huit ans de voirie et la responsabilité des bâtiments à la DDE (maintenant DDT) me sont utiles. D'ailleurs, j'aime ça. Que ce soit lors de la négociation ou durant la réalisation. Mon objectif est que cette mutualisation soit pleinement opérationnelle dans les deux ans qui viennent. Et je suis sûr que si tous les maires sont derrière nous et jouent le jeu, nous ferons des économies. Mais que les entreprises se rassurent, nous aurons toujours besoin d'elles, car ne pourrons pas tout faire. Il faut savoir en effet, qu'au 1er janvier 2015, ce sont environ 1 800 kilomètres de routes qui seront à la charge du Grand Figeac».
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2014年12月22日星期一

Clap de fin pour les studios de Bry-sur-Marne ?

De prime abord, on pourrait se croire dans le dépôt d'un prêteur sur gage. Bureaux, chaises, tapis, télévisions, et flippers en tous genres et de toutes époques sont entreposés dans l'un des quatre immenses hangars de décor des studios de Bry-sur-Marne (Val-de-Marne). Si l'on a l'impression d'un immense désordre ; chaque objet est pourtant à sa place.
« Lorsque l'on a besoin d'une cabine téléphonique des années 1960 pour un film dont l'intrigue a lieu à cette époque, on vient dans telle allée du "stock" et on est à peu près sûr de trouver ce qu'on cherche », assure Valérie Valero, chef décoratrice et membre du bureau de l'Association des chefs décorateurs de cinéma (ADC). Ces objets accumulés pendant des dizaines d'années par plusieurs centaines de tournages forment une véritable collection d'archives du cinéma français. Des détails de mise en scène qui se retrouvent aujourd'hui dans un entrepôt du Val-de-Marne : la chaise de Peau d'âne, les statues d'un Astérix, ou un rideau de la chambre de Marie-Antoinette dans le film de Sofia Coppola.
Un patrimoine pour lequel se battent Valérie Valero, l'ADC et treize autres associations de professionnels du cinéma. Depuis quelques mois, ils font tout pour empêcher la fermeture des studios de Bry-sur-Marne.
« Hollywood-sur-Marne »
Avec huit plateaux et une surface de 20 000 mètres carrés, ils comptent parmi les plus grands studios de France. Construits par la Société française de production (la SFP) en 1987, à proximité de l'INA, ils ont d'abord servi de studios de télévision, pour des émissions et des fictions. A l'époque, tout est pensé à l'anglo-saxonne, l'ensemble des compétences et des structures nécessaires à l'élaboration d'un tournage est intégré : post-production, décoration, lumière, matériels de fiction, espace de stockage des décors, loges, bureaux, parking, restaurant et bar. Mais en 2001, l'Etat revend le site de 13 hectares au groupe Euro Media, qui promet d'en faire un « Hollywood-sur-Marne ».
Inaugurés par la Société française de production en 1987, les studios ont été revendus par l'Etat en 2001 au groupe Euro Média.
photo: Jadorerobe robe de soirée bustier
Onze ans plus tard, en 2012, Euro Media, qui renonce à une partie de ses activités de fiction, revend pourtant le site à l'entreprise Nemoa, un promoteur immobilier, tout en restant locataire des lieux. Un bail dont le terme est fixé au 15 avril 2015, ce qui laisse craindre un sort similaire à celui des studios d'Arpajon, fermés en 2012 par Euro Media.
Si la reprise d'activité des studios est mise en péril, c'est surtout à cause d'une clause de non-concurrence présente dans le contrat de vente entre Euro Media et Nemoa. Celle-ci précise que « l'acquéreur s'interdit d'exploiter directement ou indirectement des biens pour toute activité liée directement ou indirectement à l'audiovisuel, y compris studio, cinéma ou à la post-production pendant une durée de huit ans »
« Tout ici a été pensé par les gens du métier »
Aucun des 320 salariés d'Euro Media ne devrait être licencié du fait de la probable fermeture – le groupe parle d'un transfert de ses activités dans ses studios de la Plaine Saint-Denis –, mais ce sont les centaines de techniciens et d'artisans intermittents qui craignent de perdre un outil de travail unique, et de voir les tournages partir hors de France. Sur les 20 000 mètres carrés de plateaux, 15 000 sont effectivement des « annexes », c'est-à-dire réservés aux ateliers de construction des décors.
Lire (en édition abonnés) : Les intermittents, ces êtres hyperflexibles
Dans un hangar attenant aux plateaux de tournage, l'odeur de sciure et le bruit des meuleuses remplacent les caméras. François Combastel et son équipe travaillent sur la construction des décors d'une série historique. Ce chef constructeur voit en ce lieu quelque chose d'unique, « sans structures équivalentes en France ».
Un avis partagé du côté de l'atelier peinture, un endroit spacieux et lumineux qui permet de donner toute leur couleur aux décors, à l'inverse des studios de la Cité du cinéma (construite et inaugurée par Luc Besson en 2012), décrits comme sombres et peu agréables par les ouvriers. « Tout ici a été pensé par des gens du métier, c'est ce qui rend l'endroit si unique et pratique, assure Guy-Michel Morin, peintre décorateur depuis 1969. J'en aurai un peu gros sur le cœur qu'on ferme ces studios, habituellement on ne tient jamais compte des outils des ouvriers, et pour une fois qu'on l'avait fait, on voudrait fermer un si bel endroit. »
Polanski et Klapisch engagés contre la fermeture
Les lieux auraient besoin d'un sérieux rafraîchissement, les toits fuient par endroit et l'on voit bien que l'entretien n'a pas été fait depuis longtemps sur ces bâtiments datant des années 1980. Des chats errent parmi les ouvriers et les acteurs qui se déplacent d'un plateau à l'autre. Les miaulements n'ont pas fait fuir l'équipe d'Hunger Games, qui est venue y tourner plusieurs scènes du dernier volet de la saga américaine (La révolte, partie 1). François Ozon (Dans la maison) ou Roman Polanski (Carnage) avaient eux aussi dirigé leurs acteurs dans ces hangars.
Le réalisateur franco-polonais, signataire de la pétition contre la fermeture des studios, fait d'ailleurs remarquer que l'une des particularités du site reste son « backlot », une rue parisienne fictive permettant de tourner des scènes en extérieur. Unique en France, il en existe aussi dans la Cinecitta de Rome ou dans les studios de Pinewood, près de Londres. Dans une lettre ouverte, Polanski explique : « Si les Studios de Bry-sur-Marne disparaissaient, nous serions obligés de tourner en dehors de la France chaque fois que l'on aurait besoin de faire des constructions en plein air. »
voir aussi: Jadorerobe robe de soirée chic

2014年12月21日星期日

10 des meilleures trames musicales de films québécois

Le temps des Fêtes est l’occasion idéale pour voir (ou revoir) des films qui ont marqué à leur façon notre cinématographie. De C.R.A.Z.Y. à 1987en passant par Funkytown et Laurence Anyways, en voici 10 qui se sont démarqués par l’originalité et la qualité de leurs trames musicales.
C.R.A.Z.Y.Incontournable, l’excellente trame musicale de ce film de Jean-Marc Vallée avait grugé à elle seule 600 000 $ du budget total de la production (5,5 millions $) en droits d’auteur. La rumeur veut même que Vallée avait accepté de baisser son salaire pour pouvoir y intégrer tous les morceaux qu’il voulait.
Grand amateur de rock, Vallée s’y est donc payé la traite en intégrant à son film des classiques qui ont marqué son adolescence, de Space Oddity de David Bowie à White Rabbit de Jefferson Airplane en passant par The Great Gig in the Sky de Pink Floyd. Comment oublier la scène à l’église sur Sympathy For The Devil des Rolling Stones?
Un des meilleurs films musicaux à avoir été tourné au Québec, ce drame sur la vie et la carrière du regretté Dédé Fortin nous a permis de redécouvrir les chansons des Colocs par le biais de nouvelles versions chantées par Sébastien Ricard (l’interprète du rôle principal) et enregistrées spécialement pour l’occasion. La plupart des classiques du groupe y sont, dont Julie, La Rue principale et Dehors novembre.
<i>Laurence Anyways</i>

photo: robe de soirée violette

1987Ceux qui ont été adolescents ou jeunes adultes pendant les années 1980 réentendront avec un sourire les chansons de l’époque qui égaient cette savoureuse comédie autobiographique de Ricardo Trogi. Et entre Ce soir l’amour est dans tes yeux de Martine St-Clair et Cum on Feel the Noise de Quiet Riot, disons que la sélection est assez variée...
Café de FloreLe film le plus musical de Jean-Marc Vallée (70 minutes contre 60 pour C.R.A.Z.Y.), avec plus de budget que pour C.R.A.Z.Y., le cinéaste s’est encore payé un beau voyage musical avec ce film très personnel dont le titre est d’ailleurs inspiré d’une pièce du même titre composée par Matthew Herbert en 2001. On entend dans le film plusieurs versions de ce Café de Flore, mais aussi quelques chansons connues de The Cure, Pink Floyd, Nine Inch Nails et du groupe islandais Sigur Ros, dont Jean-Marc Vallée est un grand fan.
Chasse au Godard d’AbitibiL’auteur-compositeur-interprète Philippe B. signe la musique de ce premier film d’Éric Morin, en plus d’avoir composé la chanson Peau de minuit,interprétée par Ariane Moffatt. La trame musicale du long métrage comprend également trois pièces des Breastfeeders et deux versions de la chanson Cheminant à la ville: l’une interprétée par Xavier Caféine et l’autre par l’actrice principale du film, Sophie Desmarais.
GabrielleLa musique occupe une place de choix dans ce drame émouvant de Louise Archambault qui raconte l’histoire d’une jeune femme atteinte d’un handicap intellectuel et particulièrement douée pour le chant. Les versions chorales des chansons Lindberg et Ordinaire avec Robert Charlebois figu­rent bien sûr parmi les moments forts du film, mais la trame musicale comprend également quelques jolies trouvailles, dont une version de The Passenger de Iggy Pop interprétée par Marie-Pierre Arthur. Le claviériste Francis Lafontaine, du groupe Karkwa, signe la musique du film.
CamionLe cinéaste Rafaël Ouellet a confié la trame musicale de son film Camion aux musiciens de Mentana, le groupe de l’actrice et chanteuse Viviane Audet. Résultat: une musique folk et atmosphérique qui se marie merveilleusement bien avec le ton et l’ambiance du film. Cette trame musicale a d’ailleurs remporté le prix Jutra de la meilleure musique originale en 2013.Funkytown
Du beau travail que cette trame musicale du film de Daniel Roby qui comprend plusieurs hits de l’époque disco (Hot Stuff, I Feel Love, I Love To Love) réenregistrés par des artistes québécois (dont Marilou, Florence K, Nancy Martinez et Kim Richardson). Le tout a été orchestré par le réputé musicien et arrangeur Jean Robitaille.
Louis Cyr : l’homme le plus fort du mondeLa musicienne Jorane et son conjoint Éloi Painchaud ont fait un travail formidable en signant la trame musicale de ce drame biographique sur la vie du célèbre homme fort québécois. Une musique tantôt émouvante, tantôt épique, qui demeure très fidèle aux racines québécoises du héros du film.Laurence Anyways
Éclectique. C’est le mot qui résume le mieux les choix musicaux des films de Xavier Dolan. La trame sonore de Laurence Anyways ne fait pas exception, navi­guant entre Pour que tu m’aimes encore de Céline Dion et Enjoy the Silencede Depeche Mode, en passant par du Beethoven et du Jean Leloup.
voir aussi: robe de soirée bleu

2014年12月19日星期五

Reportage dans les ateliers du luxe avec Alexandra Golovanoff

Brodeurs, plumassiers, bottiers, peaussiers… Bienvenue dans les ateliers du rêve, où le savoir-faire à la française défie la crise et le temps. Journaliste et présentatrice télé (1), Alexandra Golovanoff est allée pour nous à la rencontre de ces artistes de l’ombre, dont l’ordinaire se nourrit d’extraordinaire.
Les chiffres donnent le tournis – 1  400 heures de broderiesur un manteau, 196  000 paillettes ou 23  000 plumes sur une robe, 1  000 clous sur une malle… – quand on imagine les trésors de patience et de méticulosité qu’il faut déployer pour parvenir à ces résultats. Bienvenue dans l’univers exclusif de ces ateliers, où l’artisanat rencontre le luxe le plus extrême, où le superflu devient cette chose très nécessaire. C’est à Paris, éternelle capitale de la mode, qu’on a assisté à leur renaissance. Au-delà des grands mots souvent galvaudés – savoir-faire exceptionnel, artisanat précieux, exception culturelle… – se trouvent une réalité bien vivante et une tradition artistique, humaine, technique, qui a été miraculeusement sauvée des eaux. Ces métiers d’orfèvre de la mode ont bien failli tous disparaître à l’aube du nouveau millénaire : on a cru que la haute couture, avec ses fournisseurs (les brodeurs, paruriers, plumassiers, modistes…) n’avait plus d’avenir. La fermeture des maisons de couture (Saint Laurent, Mugler, Christian Lacroix, Patou…) semblait avoir prononcé la condamnation de ces savoir-faire faute de savoir quoi en faire. Certes il y a eu des faillites, des fermetures, des liquidations. Il n’y a quasiment plus d’ateliers de fabrication de chaussures, la tradition chemisière s’est éteinte, les façonniers ne sont plus légion et la maille s’est fait la malle.

photo: robes de soirée pour mariage

Une potion magique
Il n’y a pas si longtemps que cela, la France était parsemée de ces ateliers-boutiques d’artisans qui produisaient chaussures, chemises, dentelles, tissus. L’industrialisation puis la désindustrialisation ont eu raison de la plupart d’entre eux. Malgré tout, comme dans Astérix, le petit village gaulois résiste encore et toujours aux envahisseurs chinois, italiens ou indiens. Il n’a pas complètement rendu les armes. S’ils ont pu survivre et prospérer à l’heure de la mondialisation et des délocalisations massives, c’est grâce à une potion magique bien particulière que le monde entier nous envie. Elle est faite de savoir-faire ancestral, de patrimoine inestimable (ces milliers d’échantillons archivés avec amour), de culture, de goût, de talent. Mais aussi de techniques, de machines centenaires (qu’il faut traiter comme les vieilles dames qu’elles sont), d’innovations, de jeunes apprentis, de capacité d’adaptation, d’agilité, de rapidité inouïe et évidemment d’une qualité inégalable.
Avec la mondialisation du luxe, le succès des grandes marques, les milliards de chiffres d’affaires générés, ces ateliers sont aujourd’hui devenus des atouts pour les groupes du secteur. Après avoir annoncé leur disparition, ils en ont racheté et restructuré certains. D’autres ont été repris par des hommes d’affaires courageux et visionnaires. En assurant la survie de ces savoir-faire ancestraux, ils ont assuré leur pérennité en leur donnant les moyens de se développer.
Chez Hamon, maison indépendante de trente-cinq personnes, on pare le vêtement depuis 1919 : boutons, ceintures et plus récemment bijoux fantaisie. Sa force : savoir travailler et mélanger plusieurs matières au même endroit (cuir, métal, émail et tissu). Cela n’a l’air de rien, et pourtant c’est unique. On conçoit les bijoux de Lanvin ou les boucles strassées de Roger Vivier par exemple. Mais aussi et surtout on les fabrique ensuite en série.
Car l’enjeu est là. Pour vivre et se développer, ces ateliers ne se contentent plus de faire des maquettes, des prototypes pour des défilés de haute couture. Ils proposent aussi d’assurer la mise au point et la production complète de produits pour un prêt-à-porter presque aussi luxueux que de la couture.
voir aussi: robe de ceremonie

2014年12月18日星期四

Les dessous d’un personal shopping à La Vallée Village

Pour la deuxième fois, La Vallée Village a fait gagner des demi-journées de personal shopping avec moi + des bons d’achat. C’est toujours particulier de rencontrer des personnes dont le nom a été tiré au sort et qui n’auraient peut-être pas fait la démarche de rencontrer une styliste. Je me demande quelles vont être leurs attentes. Jusqu’où elles souhaiteront aller. Si elles sont prêtes à me faire confiance.
Après une demi-heure dans une voiture avec chauffeur – la classe – j’arrive dans l’outlet de luxe décoré aux couleurs de Noël en compagnie de la première gagnante.
Céline a la toute petite vingtaine. En contrat d’alternance, elle ne claque pas à tort et à travers dans les enseignes de la fast-fashion. Elle préfère acheter peu mais “du beau qui va durer des années, comme mes escarpins Louboutin, me confie-t-elle. J’ai été éduquée dans le respect des matières et des jolies marques. Je garde mes affaires vraiment très longtemps.”
Mon style est classique, précise-t-elle, je suis souvent en ballerines, pantalon noir et pull gris. J’ai un problème avec les robes et les jupes, ça ne me va pas. C’est dommage.”
Je sais qu’elle a tort. Il suffit de trouver la coupe adaptée à sa silhouette, celle qui camouflera ce qui la gêne et la mettra en valeur.
Elle me laisse quartier libre : “Je suis prête à tout essayer !”
Chic ! J’en profite pour la glisser tout de suite dans une robe en soie à la taille flottante, brodée de petites perles, associée à des jolies motardes toutes fines. En la voyant sur le cintre, elle se méfie : “Les robes, j’ai vraiment du mal. Et je ne porte pas ce genre de chaussures. Mais pourquoi pas, je suis là pour tenter.”Céline est une bonne nature.
Elle sort méconnaissable de la cabine. Wooo… cette silhouette. Elle se regarde bouche bée :
“Je n’en reviens pas, jamais je ne pensais porter ce genre de choses ! J’adore ! Les boots aussi !”
personal shopping

photo: robes de soirée pas cher

Même le caméraman est soufflé (j’ai oublié de vous dire que nous avons été suivies) : “Olala je ne l’ai pas reconnue… ces jambes !”
Comme quoi, c’est bien de dépasser ses idées reçues.
Plus loin, chez Carven, je tente une approche talons et… couleurs : bleu, orange… ça claque !
“Ça me change de mon slim noir !”
Et pourquoi pas un top imprimé à basques ?
“Je le veux, il est magnifique ! “ chante Céline. Elle a raison.
Chez Ba&sh, je repère un chemisier blanc parfait pour faire ressortir son teint halé. Et pourquoi pas un manteau imprimé ?
“J’adore le petit col Claudine, je le trouve super beau mais je ne sais pas si je serais capable de le porter, dit Céline. C’est un peu trop voyant.”
Mission accomplie. Céline repart avec des sacs, des idées plein la tête, la certitude qu’elle peut affiner son style et porter des robes !
Pour participer au jeu, Jacques, étudiant en commerce, a posté un film sur Instagram une demi-heure avant l’heure limite. Lui non plus ne pensait pas gagner. Dans son film, il demandait des boots Sandro au Père Noël de la Vallée Village.
Sauf qu’il les a aux pieds : “J’ai craqué avant !”
Peu importe, en bon fashionisto, il est sûr de se trouver un autre cadeau : “Je voudrais un jean brut ou un pull”.
Jacques est un habitué des lieux. Il connaît les boutiques par cœur. Presque… “C’est nouveau, Iro ?!!”s’exclame-t-il au détour d’une allée.
La boutique vient tout juste d’ouvrir. On la découvre. “Ah, j’ai déjà ce t-shirt !”
Chez Kenzo, je lui fais essayer une sublime parka noire en mouton retourné : “elle-est-trop-belle”. Je suis bien d’accord ! Surtout, elle lui va si bien.
Essayages de gros pulls doudou chez Zadig & Voltaire et Maison Martin Margiela.
voir aussi: robe de soirée

2014年12月16日星期二

Stevenson ne donne pas cher de la peau de Pascal contre Kovalev

Adonis «Superman» Stevenson ne donne pas cher de la peau de Jean Pascal dans le combat qui l'opposera au triple champion des mi-lourds, Sergey Kovalev, le 14 mars 2015.«Il n'a même pas été capable de battre un grand-père de plus de 40 ans, deux fois il s'est fait battre, et depuis ce temps, il tourne en rond, il tourne en rond dans sa carrière», a déclaré Stevenson (24-1-0, 20 K.-O.), faisant allusion au verdict nul et à la défaite par décision unanime encaissés par Pascal contre l'ex-champion des mi-lourds, Bernard Hopkins, en 2010 et 2011.
Jean Pascal... (Photo: André Pichette, La Presse)

photo: robe dos nu

«Il n'a affronté aucun top 10 chez les 175 livres. À part parler dans les médias et faire toutes sortes de niaiseries, il n'a rien accompli», a renchéri l'athlète de Blainville, de passage à Québec mardi pour faire la promotion de son combat contre Dmitry «The Hunter» Sukhotskiy (22-2-0, 16 K.-O.) vendredi au Colisée.
Le champion WBC, manifestement convaincu de vaincre Sukhotskiy, s'attend à affronter Kovalev (26-0-1, 23 K.-O.) durant l'année à venir afin de mettre la main sur les titres WBA, IBF et WBO, en plus d'unifier les couronnes.
Stevenson assure qu'il affrontera Pascal (29-2-1, 17 K.-O.) si d'aventure le Québécois devait causer la surprise contre Kovalev au mois de mars, mais il ne prévoit pas un tel résultat.
«Je suis l'homme pour battre Kovalev et en 2015, c'est sûr et certain qu'il devra y avoir un affrontement avec Kovalev», a-t-il dit.
Autrement, Superman n'est pas intéressé à un combat «local» contre Pascal.
«Je suis au niveau international, a fait valoir le protégé du gérant Al Haymon. Un combat pour tous les titres, c'est ce qui m'intéresse. Un combat local comme Bute-Pascal ça s'est fait à Montréal, mais au niveau mondial ça ne s'est pas vendu beaucoup, le monde n'était pas tellement intéressé».
Stevenson n'est pas un grand admirateur de Pascal. Il lui reproche de dire n'importe quoi.
«Pascal avait prédit que j'allais perdre contre Chad Dawson, il avait prédit que j'allais perdre contre Tavoris Cloud, il avait même prédit que je n'allais pas garder ma ceinture longtemps avant la victoire contre Chad Dawson et je l'ai encore», a-t-il relaté.
voir aussi: Jadorerobe robe de soirée grande taille

2014年12月15日星期一

Parce qu'une belle peau n'est pas une question d'âge

Les femmes de plus de 30 ans n'ont jamais été aussi jeunes qu'aujourd'hui
Qu'est-ce qui caractérise ces femmes ?
Qu'elles aient 40, 50 ou 60 ans et plus, elles sont plus actives, plus entreprenantes et plus séduisantes que jamais.
« Je serai vieille plus tard ! » n'est pas le titre d'un livre, mais la devise d'un grand nombre d'entre elles.
Et cette façon de vivre dicte en particulier le choix de se tourner vers des soins cosmétiques efficaces.
Combattre les processus de vieillissement de façon ciblée
Les scientifiques du monde entier s'intéressent au processus de vieillissement de la peau et analysent son déroulement.
Le directeur régional a notamment salué

photo: robe de soirée bleu

Avec l'avancée en âge, l'approvisionnement naturel du corps en nutriments devient par exemple moins intense, la peau perd du collagène et en reforme moins.
En outre, les dommages provoqués par les radicaux libres laissent des séquelles.
La peau perd en fermeté et en tonicité.
Comme la division cellulaire décroît aussi de façon continue, le nombre de molécules fixant l'hydratation diminue.
Conséquence : la peau ne peut plus stocker suffisamment d'hydratation et devient de plus en plus sèche.
Mais ce processus ne fait pas pour autant paraître la peau âgée.
L'affirmation qu'une belle peau « n'est pas une question d'âge » est encore plus vraie qu'auparavant.
LOGONA Age Protection : le rituel de soins pour les peaux matures
Avec Age Protection LOGONA a développé un rituel de soin novateur répondant aux besoins des peaux les plus matures.
Les nouvelles formulations et complexes d'actifs sont destinés à stimuler les fonctions vitales et de réparation de la peau, à la protéger intensément contre le vieillissement provoqué par l'environnement, à réduire les rides et ridules et à lutter de manière efficace contre la fatigue cutanée.
Pour un teint à la fraîcheur et à la vitalité intemporelles !
La gamme LOGONA Age Protection offre une efficace synergie d'actifs avec un précieux extrait de baies d'argousier bio, de l'acide hyaluronique, de l'huile d'argan bio et de l'huile de graines de brocoli bio, offrant aux peaux les plus matures tout ce dont elles ont besoin pour être belles.
Pour les protéger contre les causes de stress et le vieillissement prématuré, hydrater intensément, diminuer les rides et revitaliser durablement la peau !
La cosmétique naturelle LOGONA respecte le principe d'autocorrection de la peau
Notre peau est vivante et sensible.
Elle réagit au changement des saisons, aux modifications des conditions de vie et aux influences de l'environnement.
Ainsi, une peau à l'origine équilibrée peut devenir sèche ou grasse, ou devenir soudain sujette à des réactions de sensibilisation.
Il ne suffit pas alors d'apporter des lipides et de l'hydratation aux peaux sèches ou d'enlever des lipides aux peaux grasses, car la peau recevrait alors des « signaux erronés ».
C'est pourquoi la cosmétique naturelle LOGONA procède différemment.
Le concept des soins visage de la cosmétique naturelle LOGONA se base sur les connaissances scientifiques du mode de fonctionnement naturel de la peau.
Ces résultats de recherche ont permis de mettre au point des produits qui stimulent en douceur mais avec efficacité les fonctions d'autocorrection de la peau et l'aident ainsi de façon ciblée, en respectant son rythme naturel : pendant la journée par l'hydratation et la protection contre les influences extérieures, la nuit par la stimulation douce des fonctions d'auto-régénération cutanée.
voir aussi: robe de soirée rose

2014年12月14日星期日

«L’amour en cité»: Confidences intimes entre les barres d'immeuble

Le premier baiser? «Ça fait étrange de toucher quelqu’un avec cette partie de ton corps», se rappelle Jacky. «C’était comme une symphonie dans mon corps, c’était fabuleux», confie Sofiane. Puis, Julie, Ali, Trésor et Farah leur succèdent. DansL'Amour en cité, sur France 4 lundi à 23h25, six jeunes âgés de 21 à 33 ans, racontent leurs histoires amoureuses. Leur point commun? Ils sont touchants, plein d’humour, et ils ont passé leur adolescence dans des cités tout comme les coréalisateurs Ruddy Williams Kabuiki et Maïram Guisssé.
Beaucoup de pudeur
Jacky, Trésor, Farah, Ali, Julie et Sofiane, les six témoins de L'Amour en cité.

photo: robe de soirée rose

Maïram Guissé, 31 ans, aujourd'hui journaliste au Parisien, a grandi dans la Cité Rose a Canteleu, dans la banlieue rouennaise. A la faculté de Lille-3, en arts et culture, elle rencontre Ruddy, originaire de la Cité du Pont-de-Bois, à Villeneuve-d’Ascq. Avec lui, elle décide en 2010 de mener ce documentaire après une discussion avec une collègue: «Elle venait d’une classe sociale aisée, explique-t-elle à 20 Minutes. Elle me disait que c’était facile de parler d’amour avec ses proches. Mais en cité, on n'en parle pas trop, on est pudique.»
«C'est leur vérité, pas une vérité absolue»
Les réalisateurs veulent montrer que l'amour enjambe les barres d'immeuble et partent à la recherche de témoins «qui se livrent sans barrières».«Le plus dur à trouver ce fut Sofiane. Quand on demande aux gens s'il y a des homos dans la cité, ils disent non. Pourtant le fait est qu'ils existent, c'était impossible de tourner ce documentaire sans parler de tous les amours», raconte Maïram Guissé. Au final, un échantillon qui pourrait être représentatif de la jeunesse. «Mais L’Amour en cité, c’est d'abord le parcours de six personnes, nuance Maïram Guissé. C'est leur vérité, pas une vérité absolue.»
La séduction, les parents, la rupture...
Le sujet de la sexualité y est juste effleuré. L'Amour en cité brasse toutefois des thèmes tout aussi intimes: le premier baiser, la séduction, les parents, la rupture, les potes, les différences de couleurs de peau ou de religion, les gestes d’affection... Se promener main dans la main? Trésor se marre: «Ah là je peux me faire terminer salement par mes négros, il y a des limites, je veux bien parler au téléphone, dire mon bébé, tout ça, mais main dans la main, je me tire une balle de kalachnikov dans le tibia.» Avant d'ajouter: «Limite quand tu tiens la main à une meuf dans la cité, c’est attentat à la pudeur.»
Poids du regard des autres et parfois poids de la culture familiale, quand la famille est issue d’un pays étranger. «Oui, il y a parfois le poids des cultures, mais c’est à nous de faire changer les choses, pointe Maïram Guissé. Eux se défendent en étant drôles, avec beaucoup d’autodérision et la pratique de la vanne.» L’humour, le meilleur remède à l'amour.
voir aussi: robe de soirée bustier

2014年12月12日星期五

"Les reines du shopping" sur M6 : les 10 conseils de Cristina Cordula à suivre absolument

LE PLUS. Collants chair, jupes trop moulantes, leggings... Pour Cristina Cordula, il existe de nombreux fashion faux-pas ! Mais, a-t-elle raison ? Quels sont les vêtements définitivement prohibés par la police du style ? Aloïs Guinut, styliste personnelle, n'est pas toujours d'accord avec l'exubérante Brésilienne mais, cette fois, elle nous livre les dix préceptes qui font consensus.
Oups, pardon, l'espace d'un instant, mes mains ont été possédées par l'esprit de notre brésilienne préférée (Cristina Cordula !).
C'est parce qu'aujourd'hui, j'ai tenté d'entrer en connexion avec elle, et, que ça A MARCHÉ.
Je vais profiter de l'occasion pour faire parler mon inner Cristina, et, cette-fois ci, citer mon interprétation de ses préceptes mode auxquels j'adhère.
1. Les leggings ÇA VA PAS DU TOUT. Appel national !
OUI Cristina Oui! Les leggings en jersey, ce n'est flatteur pour personne.
La matière ne galbe pas la jambe ET l'épaissit. En plus on a une couture sur le côté qui n'est franchement pas jojo.
"Oui, mais comment on fait quand on veut porter des tuniques ?"
Simple : si la tunique est assez longue, on peut porter des collants opaques 60 deniers. Si la tunique est courte, on porte un pantalon skinny. Même effet de jambes moulées, mais là elles sont galbées, structurées, habillées, bref pas en pyj...euh leggings.
"Oui, mais avec des jupes, j'ose pas montrer mes jambes"

photo: robe de soirée longue

Ma chérrrrie, prends un collant opaque 60 deniers, ça te flattera la gambette sans montrer une once de peau. Beaucoup plus flatteur que les leggings, y compris pour les grandes tailles. Jetez un coup d’œil au blog de Stéphanie Zwicky (alias Big Beauty) pour en avoir le cœur net.
Et surtout, jamais, jamais de leggings avec un haut qui dévoile les fesses, c'est vraiment comme se balader nue/en pyj dans la rue à mes yeux.
"Oui mais c'est confortable"
C'est indéniable. C'est juste pas stylé, mais après on peut occasionnellement (ou tous les jours, mais ça m'étonnerait que vous me lisiez si c'était le cas), se ficher d'avoir la classe.
Et puis les slims avec assez de stretch dedans, et les collants, c'est pas inconfortable non plus, (n'exagérons rien :)
2. Les collants chair c'est IN-TER-DIT
Parce que 99% du temps c'est mal porté, je suis complètement d'accord.
Le péché capital du collant chair étant d'essayer de reproduire la peau mais d'y échouer lamentablement :
- parce que trop brillant = jambes plastiques de barbie (les glossy et autres shiny des linéaires) ;
- parce que trop opaque = jambes de mamie (le collant "mousse" aïe, aïe, aïe) ;
- parce que trop foncé = jambes de cagole (nuances "gazelle", "soleil" quand on est blanche comme un lavabo).
En plus 99% du temps, on peut les remplacer par autre chose. Des collants noirs par exemple. Ou des jambes nues, je vous assure que vos jambes nature de sortie d'hiver sont beaucoup plus jolies qu'un voile artificiel.
Mais parfois on a besoin de les porter ces fichus collants chair :
- pour un mariage d'avril où on se les pèle mais où on a envie de sortir la robe pastel qui s'accorde bien mal avec des collants noirs ou de couleur ;
- parce qu'on bosse dans l'hôtellerie ;
- parce qu'on aime vraiment pas trop nos jambes et qu'on a envie de les photoshopper un peu.
Dans ce cas, je vous conseille je choisir les collants les plus naturels possible (les "jambes nues" de la marque Le Bourget sont tops).
3. Il faut DE-PA-REI-LLER
C'est plou moderne, c'est plou jeune, c'est plou mieux !
Si vous me lisez, et que vous regardez les tenues que je compose, vous savez à quel point je souscris à ce précepte. Mais que faut-il dépareiller ? Les accessoires principalement.
Assortir ses chaussures, son sac, ses bijoux, sa ceinture, son vernis à ongles ou autres ensemble, c'est assez mémérisant. Surtout si on choisit des couleurs qui claquent.
Je m'explique : sac vermillon + chaussures de la même teinte, c'est ringard.
Sac bleu marine/marron/noir/beige + chaussures raccord, ça passe très bien, tant que ça ne saute pas aux yeux.
Explication 2 : chaussures + sac du même marron dans une tenue en camaieu de beiges, c'est harmonieux, mais chaussures marron + sac du même marron dans une tenue intégral noir, on ne voit que ça ! Le marron, se transforme en couleur flashy... et c'est raté...
Enfin, comme Cristina, je vous déconseille les parures de bijoux.
4. Trop d'informations tue le look
La formulation est de moi, sorry Cristina, je sais plus comment vous dites.
Les candidates ont effectivement la fâcheuse tendance d'associer plusieurs pièces chargées les unes avec les autres et à délaisser les basiques, du coup, elles ressemblent à des sapins de Noël.
Que ce soit une veste à clous avec une robe à franges ou un collier voyant avec de lourdes boucles d'oreilles. (Ce qui me rappelle quelqu'un parfois. Une personne qui aime les grosses créoles.)
Je ne peux que me rallier à elle et vous rappeler que le mieux est l'ennemi du bien.
Sauf quand on est une bête de mode qui peut se permettre le too much tout en gardant la classe.
5. Il faut pouvoir LIRE les habits
Par exemple, quand on joue la carte du monochrome, on joue sur les différences de matières, de textures et de coupes. Illustration chère à Cristina : avec un collant opaque noir, on choisit des chaussures noires vernies.
Sur un haut imprimé, on ne va probablement pas voir votre collier, donc préférez des boucles d'oreilles ou des bracelets.
Mais, encore une fois, les généralisations sont à éviter car, on peut jouer sur le fondu des habits à la Dries Van Noten (spécialité de Cristina).
Cependant c'est beaucoup plus difficile à réussir.
6. Tou es ronde, tou met des gros bijoux, tou es pétite, tou choisi un pétit sac
Effectivement la proportionnalité est harmonieuse. On choisit bien des habits à sa taille alors pourquoi pas le reste?
Le délicat bijoux fin sera perdu sur un poignet un peu fort et un immense sac fourre-tout fera disparaitre les petits formats (n'est ce pas Mary-Kate?).
7. Si tou es ronde évite les froufrous
C'est vrai que ça épaissit vraiment.
8. Si tou es un H ne marque pas la taille
Vrai !
Je crois que l'erreur style la plus répandue chez les femmes à la silhouette en H est d'essayer de se créer une taille avec une ceinture.
Or l'effet produit est l'inverse : la ceinture souligne justement l’absence de ladite taille.
9. Si tou as des jambes fortes, mets des chaussures décolletées
Parce qu'elles coupent la jambes et raccourcissent les mollets dodus et/ou peu élancés.
Donc les bottines ne sont pas flatteuses pour vous, surtout avec les jupes. Préférez les chaussures qui découvrent la malléole.
10. Ton sourcaïl ma chériiie !
Un beau sourcaïl, ça te change un visage !
voir aussi: robe de soirée pour mariage

2014年12月11日星期四

Adoptez le look d'Amal Alamuddin

Il y a déjà de ça quelques mois elle disait «oui» à l'acteur que plusieurs femmes considèrent comme étant tout un sex-symbol. L'intelligente femme d'affaires est devenue, le 27 septembre 2014, à Venise, en Italie, Amal Clooney, femme de George Clooney.
De par cette union faisant rêver tout Hollywood, Amal s'est métamorphosée, cette même journée, en une icône de l'amour victorieux, mais aussi en une reine du style. C'est qu'à partir de cet instant sa beauté et son sens aiguisé de la mode ont été révélés au grand jour.
L'avocate britannique d'ascendance libanaise figurait parmi les 20 personnalités britanniques les plus stylées de l'année aux British Fashion Awards, dont la cérémonie a eu lieu le 1er décembre dernier.
Voici les astuces mode d'Amal Alamuddin-Clooney qui lui valent tous les éloges.
Adoptez

photo: tenue de soirée femme

 
SA CHEVELURE ÉBÈNE
Elle charme par sa chevelure longue digne d'une princesse. Amal, dévoile une féminité séduisante grâce à ses longs cheveux d'un brun frôlant le noir qui rappellent ses racines exotiques.
SON LOOK INTELLO-CHIC
Celle qui a défendu Julian Assange dans le dossier WikiLeaks et l'ex-première ministre ukrainienne Ioulia Timochenko devant la Cour européenne des droits de l'homme a l'assurance dans la peau, mais aussi dans son style vestimentaire.
Amal ne fait pas fi de sa profession dans ses choix de fringues. Elle sait mêler l'audace et le côté prêt-à-porter dans tous ses looks. Mention d'honneur à son tailleur Chanel qu'elle portait lors d'une visite dans un musée d'Athènes.
SES TENUES DE MARIAGE
La vedette s'est unie à George Clooney dans une robe Oscar de la Renta à peine quelques semaines avant la mort du créateur de la maison. Un coup du hasard qui lui a valu une attention internationale des fashionistas qui ont voulu se rappeler la mémoire du couturier.
Elle a osé casser la tendance de la traditionnelle robe de mariée blanche lors d'une seconde cérémonie (cette fois plus formelle à l'hôtel de ville de Venise) en portant un ensemble pantalon blanc signé Stella McCartney.
Amal Alamuddin-Clooney peut faire envier les Victoria Backham et Kate Middleton de ce monde puisque le journal britannique Evening Standard l'a sacrée femme la plus influente de Londres 2014.
voir aussi: robe de soirée 2014

2014年12月9日星期二

L’enfer des soldats africains durant la Première Guerre mondiale

Ce soir, Africolor projette «Une Pensée du Courneau, le mystère du Camp nègre », documentaire édifiant de Serge Simon. Entrée libre, au Méliès de Montreuil (93). Interview.
Pour ses vingt-cinq ans, le festival Africolor (www.africolor.com) a ajouté, à sa luxuriante programmation musicale, des rendez-vous qui s’inscrivent dans la commémoration du centenaire de la Première guerre mondiale. Ce soir, courons au cinéma Le Méliès (https://fr-fr.facebook.com/melies.demontreuil), à Montreuil-sous-Bois, pour la projection du documentaire «Une Pensée du Courneau, le mystère du Camp nègre », aussi pédagogique que bouleversant.
Pour la première fois, le réalisateur, Serge Simon, ancien rugbyman et médecin, révèle les conditions infâmes infligées aux soldats africains (sommairement appelés « tirailleurs sénégalais »), dans ce camp de la misère situé dans une zone marécageuse de la Gironde. A l’issue de la projection, aura lieu une rencontre avec le réalisateur. Autre invitation essentielle d’Africolor, sur le même thème : la conférence de l’historien Tidiane Diakité (http://ti.diak.over-blog.com/), le 12 à Evry et le 13 à Montreuil (entrée libre). Elle porte sur les Maliens dans la Grande guerre, leurs conditions et les révoltes d’appelés contre leur enrôlement.
Un événement a-t-il déclenché, en vous, le besoin de vous lancer dans la réalisation du documentaire «Une Pensée du Courneau, le mystère du Camp nègre » ?
Serge Simon : Un voyage initiatique au Sénégal avec un ami dakarois a déclenché chez moi un besoin de comprendre l’histoire de mon pays, notamment celle de ses liens avec ses anciennes colonies. Pour la première de ma vie, je prenais conscience d’avoir une couleur de peau. Ma peau signifiait quelque chose que j’ignorais. J’étais le Blanc, le Toubab, cela portait une histoire. A partir de là, j’ai effectué beaucoup de travail, en particulier sur notre historie coloniale, dont les Tirailleurs sont une de facettes. Très naturellement, lorsque je suis tombé sur l’histoire inédite du Camp du Courneau se situant à quelques kilomètres de chez moi, j’ai décidé d’en faire un film.
Peut-on évaluer le nombre d’Africains ayant combattu pour la France lors de la première guerre mondiale et, parmi eux, le nombre de morts ?

photo: Jadorerobe robe de soirée grande taille

Serge Simon : 200 000 soldats africains ont combattu pour la France, dont 30 000 sont morts.
Votre documentaire révèle, pour la première fois, le sort qui leur a été infligé. Quels étaient les conditions d’hébergement et le contexte sanitaire ?
Serge Simon : Tout d’abord, rappelons le caractère d’urgence. C’est le début de l’enracinement du conflit. Il y des centaines de milliers de blessés, c’est une catastrophe sanitaire. Le service de Santé des Armées est dépassé. Problème particulier dans ce contexte : les soldats africains supportent très mal le froid de l’hiver français. Décision est prise de construire des camps d’hivernage dans le Sud de la France. Il faut trouver un site, vite, et pas forcément bien. Le Courneau n’est pas adapté. De plus, les baraques Adrian en carton goudronné explosent avec les premières pluies d’automne. Le sol en terre battue devient une funeste mare. Pas de couverture, pas de chauffage. Le froid, l’humidité, la promiscuité font le lit d’une épidémie de pneumonies à pneumocoques.
L’armée française semble avoir traité les soldats africains comme des animaux...
Serge Simon : Non, on ne peut pas dire cela. L’armée française a traité les Tirailleurs sénégalais comme le faisait le sens commun de l’époque: un paternalisme colonial. On devait « civiliser ces indigènes », considérés comme inférieurs. « Grands enfants », « sauvages », « combattants féroces, mais dociles » : les stéréotypes raciaux étaient la norme.
L’Institut Pasteur a mené un programme de vaccinations expérimentales, réduisant ces valeureux combattants à des cobayes. Y a-t-il eu, à l’époque, des plaintes ?
Serge Simon : En général, la guerre donnait l’occasion à des campagnes de vaccinations par la disponibilité de la soldatesque. Là où le bât blesse, c’est que le protocole habituel n’a pas été respecté et que l’essai a été arrêté parce qu’il n’avait pas mis en place d’essai animal avant. Il n’y a pas eu de plainte, mais des débats tendus, des condamnations éthiques…
En tant que médecin, comment avez-vous vécu cette violation du serment d’Hippocrate ?
Serge Simon : Il est impossible de juger une pratique datant de 100 ans. Mon film ne juge pas, il montre une polémique qui a eu lieu à l’époque.
En avril 1917, la tragédie s’aggrava encore: 3000 survivants du camp du Courneau périrent au cours de la bataille meurtrière du Chemin des Dames. Sont-ils honorés lors des commémorations annuelles.
voir aussi: http://www.jadorerobe.fr/robe-de-soiree-violette

2014年12月8日星期一

Johannes Huebl, profession : it-boy

Il est beau, fortuné, fraîchement marié à la it-girl Olivia Palermo, mais on ne sait toujours pas ce qu’il fait. Lui ? Johannes Huebl, 27 ans, mannequin, photographe, et conseiller en style qui incarne la version masculine de sa femme.
Si après le lycée (où il a étudié le grec et le latin), le jeune Hanovrien se lance dans des études de commerce à Hambourg, il change vite de spécialisation, préférant un cursus culturel, où il apprend la réalisation, la photographie, l’histoire de l’art et la philosophie. À 17 ans, il compose avec son minois de jeune premier et se fait repérer par une agence de mannequins allemande, puis new-yorkaise, Wilhelmina Models, et désormais IMG Models. Le jeune et plutôt doué Johannes pose vite pour les grands magazines de mode (GQ, Vogue China, Elle, Vanity Fair) et les belles campagnes publicitaires (Hugo Boss, Ralph Lauren, Dunhill, et Hogan, devant l’objectif de prestigieux photographes à l’instar de Peter Lindberg pour la campagne DKNY automne-hiver 2012). Pour ne rien gâcher, il est maintenant ambassadeur de la marque de chaussures italiennes Scarosso, et a rejoint les membres du prestigieux Mr. Porter’s Style Council.
Auprès de son réseau d'artistes, il apprend à développer son « œil esthétique ». Ses multiples déplacements professionnels lui permettront d'ailleurs de révéler ses talents de photographe. Preuve en est, en avril 2013, ses photographies de Massai seront vendues aux enchères au profit de la tribu lors d’un gala des Nations Unies. Mi-tête à claques, mi-philanthrope ? Un vrai bood boy en somme.
Tomber amoureux d’une it-girl

photo: robe de soirée blanche

Ayant des amis communs, la jet-setteuse Olivia Palermo et Johannes Huebl se rencontrent en 2008 et ne se quitteront plus. Aussi, depuis presque 7 ans, l’héroïne de la télé-réalité The City, désormais blogueuse accomplie, et le mannequin allemand filent le parfait amour et ne s'en cachent pas. Olivia Palermo est plébiscitée pour son style, tout comme sa moitié, et tous deux ont vite compris qu’en s’affichant ensemble, leur côte de popularité et de « coolitude » serait décuplée. Ainsi, tous les jours ils postent sur Instagram leurs dernières vacances, leurs séances photos, ou encore la vie de leur chien Mr Butler. Et ça marche !
Avec plus de 2,2 millions de followers à eux deux (plus de 513 000 abonnés pour Johannes, et 1,7 million pour Olivia), leur vie fait fantasmer et les griffes s’arrachent leur image. Depuis deux ans ils se partagent l'affiche sur les campagnes publicitaires des marques Mango, Mont Blanc (grâce à qui ils ont été nommés Couple de l’Année en 2010) ou encore Hogan. Chose étrange, c'est dans le plus grand secret que le couple se marie en janvier 2014, à New York. Que l'on se rassure, Olivia a quand même tenu à mettre en ligne la photo de sa robe de mariée, sur Instagram... Cliché repris immédiatement dans le monde entier.
Avoir un certain sens du style
En plus d’un physique avantageux, le gentil garçon peut se vanter d’avoir du goût question chiffons. Avec pour icône un certain Jean-Paul Belmondo, il définit lui-même son style comme « preppy-chic ». Sa garde-robe, somme toute classique, se compose de costumes trois pièces ou chemises/chinos. Elle est généralement twistée par de la couleur, lui donnant une allure de vacanciers des Hamptons. « Je suis plutôt conservateur. Une grande partie de mon dressing est hors-tendance » déclare-t-il dans une interview donnée au magazine suisse PKZ, « Les vêtements pourront encore être portés dans dix ans, du moins en ce qui concerne la couleur et la coupe des chemises et des costumes ». Pour ces derniers, Johannes Huebl ne jure que par son tailleur hambourgeois Marc Anthony. Toujours tiré à quatre épingles, son look très étudié est épié sur les front-rows des Fashion Weeks où il est toujours raccord avec sa dulcinée. Plus de doute, depuis qu’il la suit comme son ombre, Johannes Huebl a gagné ses galons de it-boy.
S’arranger pour être toujours en vacances
En plus d’avoir vécu à Paris, Londres, Barcelone, Tokyo et désormais Brooklyn depuis 9 ans, Johannes Huebl est le plus souvent en déplacement. On veut bien croire à l’excuse des jet-lags pour raisons professionnelles, mais il n’empêche qu’avec ses nombreuses photos Instagram postées de Miami, Singapour, Stockholm, Capri… ou encore de Saint Barth, ce train de vie reste toujours plus cool que nos dernières vacances passées à La Grande Motte l'été dernier.
Se faire un réseau béton
Pour un it-boy, les mondanités sont toujours l’occasion d’élargir son panel d’amis et de relations. Premières de films, galas de charité, lancements de produit… Comme il se doit, Johannes et Olivia sont de toutes les soirées. En ce qui concerne leur aura mode, elle s’est considérablement agrandie lorsque le couple est devenu ami avec le couturier italienValentino Garravani et son associé Giancarlo Giammetti, sur le yacht duquel ils passent désormais leurs vacances au large d’Ibiza ou des îles grecques. Bien vu.
voir aussi: robe rouge soirée

2014年12月7日星期日

The Evil Within sur PlayStation 4

Après avoir quitté Capcom et travaillé sur Vanquish et Shadow of the Damned, l’un des grands maitres du survival-horror, Shinji Mikami, s’est décidé à revenir à son genre de prédilection (avec son studio Tango Gameworks) avec une idée en tête : redonner ses lettres de noblesse à un genre qui s’est perdu en cours de route. Selon lui trop orienté action, il entend revenir aux racines du survival en proposant un jeu à la fois effrayant et difficile, poussant le joueur dans ses derniers retranchements. Certains trouveront curieux que la personne même qui a entamé ce virage avec Resident Evil 4 pense de la sorte, d’autres, comme moi, pensent au contraire qu’il était temps ! Alors, The Evil Within tient-il toutes ses promesses ? En grande partie oui !
L’Antre de la Folie
Pour commencer comme il se doit, rien de tel qu’une petite tirade sur le scénario. Mikami, qui n’a jamais été reconnu pour ses talents de conteur ou de scénariste, prend ici le joueur à contrepied en s’inspirant bien plus de Silent Hill que de son titre fondateur Resident Evil. Il est toujours ici question d’expérimentation biologique, mais on s’éloigne du trop classique cliché du virus pour quelque chose de plus psychologique. En effet, on incarne un inspecteur du nom de Sebastian Castellanos qui se retrouve plongé dans la psyché de Ruvik, un être mystérieux se trémoussant un peu partout en robe de chambre ou tenue de Jedi selon vos références. Mikami s’essaie donc au thriller psychologique en saupoudrant le tout de Silent Hill, pour la narration hachée et la perpétuelle perte de repères, ou encore de Resident Evil pour tout ce qui concerne les journaux écrits ou audios. Mais le monsieur n’a pas réussi à oublier le côté nanar de ses œuvres, car encore une fois les dialogues entre les personnages se veulent souvent insipides et même parfois hors de propos. Le résultat est très clairement en demi-teinte et c’est bien dommage, car le sujet est intéressant. Alors, si l’on peut saluer l’orientation prise par Mikami, voulant s’ancrer dans un imaginaire et un univers déstructurés proche d’œuvres telles que l’Antre de la Folie et l’Échelle de Jacob, mais malheureusement l’écriture pêche par un manque criant de narration et d’explications. Alors certes, il est toujours bon de maintenir le suspense, d’épaissir le mystère ou de garder des zones d’ombre pour faire parler l’imaginaire du joueur, mais il est aussi judicieux de lui donner des repères auxquels il pourra s’accrocher pour ne pas perdre le fil.
Comme déjà dit, on incarne Sebastian, un flic bourru qui a vécu un drame familial que l’on apprend au court de notre aventure via des journaux écrits. Il se retrouve projeté dans la psyché torturée de Ruvik, personnage insipide et au design trop pauvre pour inspirer la crainte, pour des raisons que nous vous laisserons découvrir, car cela est le seul intérêt du scénario. On croise aussi plusieurs autres protagonistes, Kidman et Joseph en tête, qui sont des collègues de la police de Krimson City, ainsi qu’un mystérieux médecin et un malade mental très important, mais pathétique, du nom de Leslie. Là encore, Mikami se foire et ne réussit pas à nous proposer des personnages intéressants, il n’y a guère que Sebastian qui sorte du lot, et encore, on est bien loin d’atteindre des sommets. Cela manque de personnages forts, d’un méchant instillant la peur et l’inquiétude ou encore de conversations bien ficelées et intéressantes.
The-Evil-Within-Test

photo: robe de soirée sexy

Alors pour vous résumer le tout, votre avancé se fera à coup de journaux écrits ou audios (quelques flashback parfois aussi) vous en apprenant un peu plus à chaque fois sur votre personnage et pourquoi vous vous retrouvez piégé dans des univers aussi différents et dérangeants les uns que les autres. Le problème provient alors surtout du rythme très haché de la narration, car vous passerez de longues heures à vous demander ce que vous foutez là, les réponses ne venant qu’en dernière partie de jeu, autant dire que vous serez plongé dans le noir total durant très longtemps. Et encore, ce serait oublier que les cut-scènes n’apportent rien, que beaucoup de choses restent inexpliqués, comme ces fameuses zones de sauvegarde auxquelles on accède via des miroirs, ou encore que le jeu ne parvient pas à fournir une fin satisfaisante et claire dans son propos. Il vous est donc demandé de vous faire votre propre opinion sur énormément d’éléments de game design, sans jamais réellement savoir si ce que vous pensez connaitre est vraiment réel…
Resident Hill
Si l’aspect narratif du jeu et le design de ses principaux personnages laissent à désirer, il n’en va pas de même de la direction artistique de The Evil Within. Torturé, déstructuré, malsain et gore, The Evil Within est un titre à plus d’un point dérangeant et inquiétant. Là encore, les références aux autres jeux du genre sont très présentes, le village faisant écho à celui de Resident Evil 4, le manoir quant à lui nous projette dans Resident Evil premier du nom, alors que la ville totalement détruite et en mouvement fait écho à un certain Alan Wake. Rien de finalement bien original, mais cela n’empêche qu’il nous faut à la fois saluer la maitrise du maitre pour créer des environnements au cachet visuel unique, mais aussi saluer la variété que nous offre le titre. Il arrive bien souvent d’admirer les différents décors, d’apprécier la qualité des éclairages et de frémir de plaisir en découvrant chaque environnement. Tout y passe, l’hôpital, le manoir, la ville, l’église, le château, le cimetière et autres, et on est en fait en présence d’un gros mix de tout ce que nous offrent les survival-horror. Est-ce un mal ? Oui et non, car c’est maitrisé, souvent beau et l’ambiance des différents lieux est généralement réussie, mais cela manque d’originalité, de nouveautés, même si parfois The Evil Within propose de petites trouvailles visuelles, comme ce court passage dans un endroit rempli de Doll… Il nous faut aussi saluer la qualité du détail apporté aux lieux visités, c’est fouillé, terriblement proche de notre réalité, tout en étant suffisamment différent et dérangeant pour dépayser et intriguer le joueur, une belle réussite.
On ressent énormément l’influence des ténors du survival-horror dans The Evil Within. Beaucoup de lieux font échos à Resident Evil, Silent Hill, Siren ou encore Alan Wake dans une moindre mesure (Alen Wake n’étant pas un survival-horror). La direction artistique prise pour mettre en relief l’horreur est d’ailleurs beaucoup plus crue et viscérale que ce que nous proposait Mikami dans Resident Evil. On est là, ancré dans un imaginaire proche de Silent Hill, avec des décors suintants la souffrance, le sang et suffisamment malsain pour déranger. Ceci est renforcé par une bande sonore de très grande qualité, avec des thèmes aussi déchirés que les endroits que l’on visite, et de nombreux moments de silence. L’implantation de musique de chambre, chère à Mikami, est aussi présente et apporte une touche de douceur macabre au soft, dommage alors que le doublage des divers protagonistes est sans saveur. On abandonne donc le côté occidental de la peur pour rejoindre l’univers asiatique, mais malheureusement, si The Evil Within dérange, il ne fait à aucun moment peur. La faute surement à des mécaniques usées jusqu’à la moelle et à un manque d’originalité frappant dans sa manière d’amener les différentes situations et de se servir de son visuel gore pour faire frémir. On est donc en présence d’un jeu à l’ambiance lourde et pesante, mais en aucun cas effrayante pour qui connait le survival-horror, et là encore, et même si le tout est plutôt réussi, The Evil Within rate en partie ce qu’il entreprend de nous faire ressentir.
Monsters everywhere
Le character design des ennemis est aussi une des grandes satisfactions de The Evil Within. Assez variés, surtout au niveau des boss, on croise tout au long du jeu des créatures plus horribles les unes que les autres. À commencer par les hantés, ces sortes de zombies aux corps déchirés par du fil barbelé ou encore simplement mutilés. On retrouve une certaine recherche proche de celles effectuées dans un Silent Hill, avec des créatures difformes qui ont chacune une raison d’être, il reste alors dommage que le scénario n’appuie pas suffisamment cela et que l’on découvre trop de choses alors que beaucoup de chapitres sont passés. Mikami a su s’inspirer du folklore japonais à l’image de la Femme-araignée, sorte de mix entre Ju-On et d’une araignée, ou encore du meilleur de certains jeux comme Boxman, sorte de Piramid Head dont la tête est recouverte par un coffre-fort entouré de barbelés. On trouve des boss gigantesques, d’autres de taille humaine (plus ou moins), mais on est toujours agréablement surpris par leur design, ce bestiaire est l'un des gros points forts du jeu .
Techniquement, le bât blesse par contre. Comprenez bien que The Evil Within est loin, très loin d’être moche. Il est aussi daté sur certains aspects, comme ces nombreuses textures cradingues que l’on croise tout au long de notre aventure, ou encore ces baisses de framerate assez navrantes sur notre nouvelle génération. Quelques bugs sont aussi au rendez-vous, à l’image d’une caméra partant souvent en vrille dans les endroits exigus ou ces quelques bugs de collisions pouvant vous faire foirer un gunfight entier. De même que certaines choses fâchent, comme l’oubli de retirer le modèle d’un Beretta absent du jeu dans certaines séquences pour le remplacer par notre six coups, ou encore ces objets qui se greffent à notre main alors que l’on ne les utilise plus. Reste des effets volumétriques et de lumières de très bonne facture, des environnements fouillés et détaillés, ainsi qu’un cachet visuel unique nettoyant en apparence le jeu de sa faiblesse technique, mais autant dire que cela passe mieux en nocturne que de jour et en intérieur qu’en extérieur. C’est donc assez daté, et bien en deçà des capacités d’une PlayStation 4 et d’une Xbox One, en somme on est plus proche du très beau jeu PlayStation 3 .
The Last of Resident
Pour en venir au gameplay, sachez qu’à l’image du reste, rien n’est vraiment nouveau, mais tout fonctionne plutôt bien. Si l’on met de côté les soucis de caméra ou les quelques bugs, on reste très proche d’un certain Resident Evil 4 accompagné par un zeste de The Last of Us.
Mikami voulait revenir aux fondamentaux du genre, mais pas trop, puisqu’on reprend la visée à l’épaule qu’il a créé avec le quatrième épisode de Resident Evil. Autant dire que le monsieur s’y connait et bien qu’assez imprécise, avant d’acheter des améliorations, on ne détecte aucun problème au niveau de la visée ou des gunfights, hormis encore une fois lorsque la caméra s’en mêle. Le champ de vision est aussi assez étroit, la faute aux fameuses bandes noires, mais comment reprocher cela alors que l’ambiance s’en retrouve renforcée ? On est donc en face, au premier abord, d’un TPS classique, mais réduire The Evin Within à cela serait une erreur.
En effet, il est possible d’aborder beaucoup de situations de différentes manières, on peut essayer de s’infiltrer et tuer nos ennemis silencieusement à l’aide de notre couteau. Le système est alors assez proche de celui d’un The Last of Us et fonctionne plutôt bien, même s’il arrive qu’on se loupe à cause du pathfinding des ennemis assez aléatoires lorsqu’ils se mangent des murs ou changent brusquement de direction on ne sait trop pourquoi. On peut alors se servir de bouteilles pour détourner l’attention de nos opposants, les attirer près de pièges pour les faire exploser jusqu’à ce que mort s’ensuive ou alors passer dans l’ombre tel Garett dans Dark Project. Il vous faut d’ailleurs brûler vos ennemis pour les évincer complètement, car ils peuvent se relever. À l’aide d’allumettes, vous pouvez brûler les cadavres et même faire un feu de joie en brûlant plusieurs ennemis à la fois, chose à ne pas prendre à la légère, car pouvant vous faire économiser nombre de munitions. La chose étant qu’assez vite certains ennemis vous repéreront dans certaines situations sans que vous ne compreniez pourquoi ou comment, ce qui peut être rageant sachant que vous n’avez fait aucune erreur, encore un des errements du titre. De même, que dans quelques chapitres, le dézingage à grande échelle est imposé, ce qui créé l’un des gros points négatifs du jeu: son équilibrage.
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2014年12月3日星期三

Tokio Hotel : tournée, album, look, le groupe fait peau neuve

Tokio Hotel vient d'annoncer les dates de sa nouvelle tournée. Après 5 ans d'absence, le groupe allemand est de retour avec une nouvelle musique et un nouveau style.
Qui l'eût cru ? Le groupe phénomène Tokio Hotel est de retour avec une nouvelle tournée - dont les dates viennent d'être annoncées -, un nouvel album (paru en octobre) et un look radicalement différent.
Âgés de 16 ans au summum de leur gloire en 2006-2008, les 4 Allemands ont aujourd'hui entre 25 et 27 ans. Le temps était venu pour eux de ranger leurs vêtements gothiques, leur palette de maquillage et d'essayer autre chose que le glam rock. Les Tokio Hotel ont opéré un virage à 180 degrés.
Les Tokio Hotel n'ont plus le même look que sur cette photo de 2011

photo: robe de soirée

Si certains membres comme les frères Kaulitz (Bill et Tom) n'ont pas complètement abandonné les piercings, tous arborent un style sobre et semblent avoir un penchant pour les chemises à carreaux. En témoigne cette photo prise durant la promotion de leur nouvel album, Kings of Surubia.
Une musique plus électro
Leur style musical a également changé. Les 4 artistes ont privilégié l'anglais sur leur 5ème album studio et non l'allemand comme sur leurs précédents disques. Leur musique se rapproche davantage du pop-rock avec des touches électro. Oublié le glam rock d'autrefois. Leurs clips ont perdu de leur esthétique sombre au profit de mises en scènes pop très colorées et surtout excentriques.
Tokio Hotel a connu une ascension fulgurante au début des années 2000 avant de brusquement s'éteindre. Après avoir vendu des millions d'exemplaires de leurs trois premiers disques, le quatrième Humanoïde (2010) n'avait pas eu le succès escompté. Ce genre de boys band avait alors cessé de séduire, remplacé par des groupes plus pop comme les One Direction.
Des places de concert trop chères pour les fans
Cinq ans après, Tokio Hotel peut-il encore déclencher la même folie ? Le groupe compte toujours bon nombre de fans féminins vraisemblablement nostalgiques. Durant la promotion de leur nouvel album en octobre, ces groupies ont suivi à la trace les quatre Allemands, aux quatre coins de Paris : depuis la Fnac Saint-Lazare où ils assuraient une séance de dédicace à l’hôtel de Sers, rapportait Le Parisien.
Kings of Suburbia s'est classé numéro un des ventes sur iTunes le jour de sa sortie le 6 octobre avant de disparaître du top 100. Les Tokio Hotel se lanceront dans une grande tournée européenne, le Feel it All Tour, en 2015. Ils passeront par Marseille (Le Moulin le 9 mars) et Paris(Le Trianon le 11 mars). Les fans seront-ils au rendez-vous ? Rien n'est moins sûr. Les fidèles s'insurgent déjà du prix très élevé des places : 84 euros minimum pour un billet au Trianon. Un pack VIP promet également une rencontre avec le groupe avant et après le show, ainsi que des selfies avec leurs idoles, au prix de 1.850 euros.
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2014年12月2日星期二

Ils font la mode... dans les Yvelines

Dans le monde de la mode, il n’y a pas que la “fashion week” parisienne et les grands noms des couturiers. De nombreux créateurs sont installés dans les Yvelines.
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photo: robes de soirée

Elle crée des robes, jupes, chemisiers, hauts, manteaux…, depuis 25 ans. Elle a tenu son atelier à Paris, elle a participé à des défilés, elle expose toujours dans la capitale et a ses mannequins et photographes attitrés. Pourtant, aujourd’hui, elle est installée à Andrésy. Et surtout, Sylvie Valton veut « que l’on montre mes créations, pas moi, parce que mes robes, c’est moi »…Même si Paris reste, malgré les concurrences de New York ou Milan, la capitale mondiale de la mode, l’excellence française en la matière ne se limite pas à l’intérieur du périphérique. Sylvie Valton en est un parfait exemple, mais ils (elles) sont nombreux(ses) dans les Yvelines à proposer leurs créations.« Une robe, c’est une femme, et pas une autre, explique la créatrice. Si la forme change, il faut rajuster la robe. Un vêtement, c’est une demeure. Et cette demeure, elle doit bouger, ne pas être étriquée ».
Sylvie Valton combat aussi des idées reçues : notamment celle d’un grand écart de prix entre le prêt-à-porter et le vêtement unique de créateur. Et elle nous l’a prouvé… « Dans le prêt-à-porter, tout le monde prend la même demeure, que l’on soit maigre ou grosse ». Elle a donc imaginé, en guise de clin d’œil, la “couture à porter” : « une collection de vêtement de tous les jours, sur mesure, comme des jupes à partir de 75 euros ». On trouve aussi chez elle des hauts à 38 euros, des vestes à 135 euros, et des robes à partir de 150 euros. Et surtout, pour une femme, il y a ce sentiment d’être unique…
Si vous cherchez des vêtements d’enfants, rigolos et pratiques, et surtout que vous ne verrez pas sur tous les bébés du quartier, c’est la bonne adresse. Anouchka Protopopoff créée toute une collection qui leur est dédiée. L’idée lui en est venue après la naissance de son deuxième enfant. Le nom de sa marque est d’ailleurs tiré du surnom de son premier enfant : «J’avais un diplôme d’une école de marketing et de gestion de la mode, où j’avais aussi appris la couture et le stylisme, raconte-t-elle. J’ai commencé par faire des vêtements pour mes enfants, et je les ai postés sur mon blog personnel. Mes amies m’ont très vite demandé d’en faire pour elles… ». Le style est décalé, inventif, les matières sympas, bien loin de ce que l’on trouve ailleurs. Formée au marketing, Anouchka a très vite pensé réseaux sociaux et internet pour se faire connaître et vendre ses premières collections. Elle dessine les modèles, monte les prototypes, exécute les patrons, coupe… et fait assembler les pièces dans un atelier protégé de Plaisir. Robes, chemises, blouses, turbulettes et accessoires comme les tours de lit, sa palette est vaste. Elle produit même des pièces uniques, sur mesure, à la commande. Ses collections sont en vente sur internet, mais aussi dans un concept store, la Maison DoDuDinDon, tenue par sa mère dans le Xe arrondissement de Paris.
voir aussi: jadorerobe.fr